De nombreux artistes et écrivains traversèrent le Jardin et laissèrent de nombreuses anecdotes pour la prospérité.
Hemingway n'y chassait-il pas le pigeon, au temps où ses poches étaient vides, au début des années folles ? Balzac ne s'y promenait-il pas avec Madame de Berny ? et Verlaine, Beaudelaire, Victor Hugo, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir... Tant de génis pour qui le Luxembourg servit souvent de cadres à leurs oeuvres.


 Les sculptures françaises

Zone centrale et bassin




Artistes
:
Jean-louis Brian (1805-1864), Pierre-Charles Bridan (le fils) (1766-1836), Louis-Denis Caillouette (1790-1868), Jean-Baptiste Clésinger (1814--1883), Aimé Jules Dalou (1838-1902), Jean-Baptiste Joseph Fils Debay   (1802-1862), Camille Demesmay (1815-1890), Augustin Dumont (Auguste- Alexande) (1801-1884), Jean-Jacques Helsoecht (1797-1856), Jean-Jacques Feuchère (1807-1852), Jacques-Edouard Gatteaux (1788-1881), Heuraux, Huguenin, Honoré-Jean-Aristide Husson (1803-1864), Jean-Baptiste-Jules Klagmann (1810-1867), Joseph Stanislas Lescorné (1799-1872), Mercier, Auguste-Louis-Marie Ottin (1811-1890), Eugène-André Oudiné (1810-1887), Antoine-Augustin Préault (1809-1879), Joseph-Marius Ramus (1805-1888), F.Taluet, V. Thérasse, Victor Vilain (1818-1899),...    


Artiste : Heuraux
Modèle : Lion

Signification :
Le Lion désigne une constellation du zodiaque. Cette constellation est traversée par le Soleil du 10 août au 16 septembre. Dans l'ordre du zodiaque, la constellation se situe entre le faiblement lumineux Cancer à l'ouest et la Vierge à l'est.

Cette constellation contient plusieurs étoiles brillantes, telles Régulus , le cœur du Lion, et Denebola, sa queue. Le Lion désigne également un signe du zodiaque correspondant au secteur de 30° de l'écliptique traversé par le Soleil du 24 juillet au 23 août. C'est dans ce sens qu'il sert au repérage des déplacement planétaires, encore utilisé en astrologie

 Histoire

Comme toutes les constellations du Zodiaque, le Lion a des origines très anciennes. Mentionné par Ptolémée dans son Almageste, il correspondrait dans la mythologie grecque au lion de Némée tué par Hercule lors du premier de ses douze travaux.
On peut noter que la constellation voisine de la Chevelure de Bérénice était autrefois considéré comme un simple astérisme dans le Lion avant d'en être détaché.












Artiste : Pierre-Charles Bridan (le fils) (1766-1836)
Modèle : Vulcain

Mythologie :
Vulcain a pour parents Junon et Jupiter. Honteuse d'avoir mis au monde un fils si difforme, la déesse le lanca de l'Olympe, afin que personne ne le vît. Cependant, il tomba dans la mer, si bien qu'il ne se fit point de mal, et là il fut recueilli par les belles Thétis et Eurynome, filles de l'Océan. Pendant neuf années, entouré de leurs soins, il demeura dans une grotte profonde, et il montra un grand talent à leur fabriquer des boucles, des agrafes, des colliers, des bagues, des bracelets sur sa forge. Cependant, la mer le cachait sous ses flots, si bien qu'aucun des dieux ni des hommes ne connaissait le lieu de sa retraite, sauf les deux divinités qui le protégeaient.

Un jour, Junon se promenait sur Terre, et elle rencontra les deux nourrices de Vulcain. Les voyant parées des plus merveilleux bijoux, elle leur demanda d'où ils venaient. On lui répondit que c'était l'enfant qu'elles avaient recueilli qui les fabriqua. Junon alla le voir, et, reconnaissant la difformité qui l'avait dégoûtée à sa naissance, se fit tout sucre miel avec son fils afin d'obtenir des bijoux encore plus beaux que ceux qu'elle avait déjà vu dans la forge. Vulcain, conservant au fond de son cœur du ressentiment contre sa mère, à cause de cette injure, fit une chaise d'or qui avait un ressort mystérieux, et l'envoya dans le ciel. Junon admire un siège si précieux et, n'ayant aucune méfiance, veut s'y asseoir. Aussitôt, elle est prise comme dans un trébuchet. Elle y serait restée longtemps sans l'intervention de Bacchus , qui ennivra Vulcain pour l'obliger à délivrer Junon. Cette aventure de la mère des dieux excita l'hilarité de tous les habitants de l'Olympe, c'est du moins ce que prétend Homère.

Ailleurs, Homère raconte que ce fut Jupiter lui-même qui précipita Vulcain du haut du ciel. Le jour où, pour punir Junon d'avoir excité une tempête qui devait faire périr Hercule , Jupiter avait suspendu cette déesse au milieu des airs, Vulcain, par un sentiment de compassion ou de piété filiale, vint au secours de sa mère. Il paya cher ce mouvement de bonté. Jupiter le prit par les pieds et le lança dans l'espace. Après avoir roulé tout le jour dans les airs, l'infortuné Vulcain tomba dans l'île de Lemnos, où il fut recueilli et soigné par les habitants. Dans cette épouvantable chute, il se cassa les deux jambes, et resta boiteux pour toujours.

Sur les anciens monuments, ce dieu est représenté barbu, la chevelure un peu négligée, couvert à moitié d'un habit (parfois une peau de bête) qui ne lui descend qu'au-dessus du genou, portant un bonnet rond et pointu. De la main droite, il tient un marteau, et de la gauche, des tenailles. Bien que, selon la fable, il fût boiteux, les artistes supprimaient ce défaut ou l'exprimaient à peine sensible. Ainsi, il se présentait debout, mais sans aucune apparente difformité.


Zone sud






Artistes :
André-Joseph Allar  (1845-1926), Auguste Caïn  (1821-1894), Palma D'Annunzio (Palma Daillon)  (1863-1943), Paul Dubois  (1829-1905), Henri Désiré Gauquié  (1858-1927), Arthur Jacques Le Duc (1848-1918), Laurent Honoré Marqueste  (1848-1920), Pierre Félix Masseau (Fix-Masseau)  (1869-1937), Denys Pierre Puech  (1854-1942), Victor Segoffin  (1867-1925).






Artiste : Henri Désiré Gauquié (1858-1927)
Modèle : Jean-Antoine Watteau

Biographie :

Jean Antoine Watteau, plus connu sous le nom d'Antoine Watteau (10 octobre 1684, Valenciennes - 18 juillet 1721, Nogent-sur-Marne), est un peintre français.

Il est un des premiers représentants du mouvement rococo. Inspiré par la commedia dell'Arte, il aime représenter le théâtre dans ses tableaux, que ce soit à travers les rideaux lourds ou les thèmes. Ses tableaux les plus célèbres sont Pierrot, Pèlerinage à l'île de Cythère.

Une des principales sources de renseignements sur sa vie est la biographie rédigée par son ami le comte de Caylus.


















Artiste : Denys Pierre Puech (1854-1942)
Modèle : Charles Augustin Sainte-Beuve

Biographie :
Orphelin de père à sa naissance, Charles Augustin Sainte-Beuve sera élevé dans le culte du souvenir de ce dernier par sa mère et sa tante. Il suivra des cours de rhétorique et de philosophie au lycée Condorcet à Paris, où il se distinguera et se passionnera pour Chateaubriand, Lamartine et Lamarck. Son cursus universitaire le conduira sur les bancs de la faculté de médecine qu'il délaissera avant terme pour se consacrer à la critique littéraire au journal Globe en 1827.

Il se liera d'amitié avec Victor Hugo et sera admis dans le Cénacle, groupe constitué autour de Charles Nodier qui deviendra le berceau du mouvement romantique français. Son premier essai publié en 1828, Tableau historique et critique de la poésie française et du théâtre français au XVIème siècle, prendra la forme d'une étude comparative entre les romantiques et les poètes de la Pléiade. Vie, Poésies et Pensées de Joseph Delorme, publié en 1829 sous forme de prose et de versets, sera un échec. Sainte-Beuve tombera amoureux d'Adèle, la femme de Victor Hugo, et entretiendra une importante correspondance avec le couple. Ces échanges seront rassemblés dans les Consolations publiées en 1830.

Influencé par les socialistes Pierre Leroux et Lammenais, Sainte-Beuve entreprendra la rédaction de unique roman, Volupté, publié en 1834. Il se consacrera à la critique littéraire pour la Revue des Deux Mondes après ce nouvel échec littéraire, et se liera d'amitié avec Georges Sand. Il publiera successivement Critiques et Portraits littéraires (1836-1839), Portraits de femmes (1844), Portraits contemporains (1846) au terme d'importants travaux d'investigation qui lui permettront d'associer étroitement la vie d'un artiste et son oeuvre.

Professeur de littérature à Lausanne (1837-1838) et à Paris, il se consacrera l'étude des écrivains jansénistes et donnera une série de conférences sur ce thème qui seront rassemblées dans Histoire de Port-Royal (1840-1859). Dix Ans après en littérature, publié en 1840, consacrera sa rupture avec le romantisme.

Nommé conservateur de la Bibliothèque Mazarine à partir de 1840, élu académicien en 1848, Sainte-Beuve s'écartera de cette institution lors de la révolution de 1848 et quittera momentanément la France. Il se consacrera exclusivement au journalisme et à la critique littéraire à son retour, notamment dans le Constitutionnel (1849/1852) puis le Moniteur (1852/1861).

Professeur de poésie latine au Collège de France (1855) et de littérature française à l'École normale supérieure (1857-1861), il se ralliera à l'Empire et sera nommé sénateur en 1865. Ses prises de position en faveur de la liberté de la presse lui attireront la sympathie des libéraux et du monde ouvrier. Sainte-Beuve laissera derrière lui une importante correspondance et des Carnets intimes dont une anthologie sera publiée sous le titre Mes poisons, posthume, 1926.

"La plupart des hommes célèbres meurent dans un véritable état de prostitution."
Charles Augustin Sainte-Beuve, Mes poisons


Zone ouest








Artistes
:
Michel Anguier  (1613-1686), Frédéric Auguste Bartholdi  (1834-1905), Aimé Jules Dalou  (1838-1902), Auguste de Niederhausern (Rodo)  (1863-1913), Philippe Joseph Henri Lemaire  (1798-1880), Carlo Sarrabezolles (1888-1971), Raoul Charles Verlet  (1857-1923).


















Artiste : Frédéric Auguste Bartholdi
Modèle : La Liberté

Biographie :
Frédéric Auguste Bartholdi, né à Colmar le 2 août 1834, devient orphelin à l'âge de deux ans. Sa mère s'installe alors à Paris. Sa ville natale lui commande une statue du Général Rapp en 1853. Elle sera inaugurée trois ans plus tard.

Agé de 21 ans, Bartholdi entreprend un voyage de dix-huit mois au Moyen-Orient. Il revient en France en 1857 et remporte un concours organisé par la ville de Bordeaux. Le projet de fontaine victorieux ne sera érigé que 42 ans plus tard sur la place des Terreaux à Lyon.

Bartholdi réalise, vers 1867-1868, la maquette d'un phare monumental destiné à l'entrée du canal de Suez. Ce qui ne restera qu'un projet donnera naissance plus tard à la Statue de la Liberté.

En 1870, le sculpteur réalise une maquette pour la ville de Clermont-Ferrand à l'effigie de Vercingétorix et le premier modèle connu de la Statue de la Liberté éclairant le monde. La France, en guerre avec la Prusse depuis le mois de juillet, abandonne l'Alsace et une partie de la Lorraine en mai 1871.

Bartholdi se rendra aux Etats-Unis afin de concrétiser son projet de monument destiné à célébrer l'amitié Franco-Américaine. Il dira à son ami Edouard de Laboulaye :"Je lutterai pour la liberté, j'en appellerai aux peuples libres. Je tâcherai de glorifier la république là-bas, en attendant que je la retrouve un jour chez nous". Le sculpteur choisira l'île de Bedloe, située en face de la presqu'île de Manhattan, pour accueillir sa statue.

Alors qu'il mobilise les énergies pour monter son projet, il réalise "La malédiction de l'Alsace" en 1872 et prépare une statue de La Fayette pour la communauté Française de New York. Il présente une fontaine à l'exposition de Philadelphie de 1875, qui sera ensuite érigée à Washington. La création du Comité de l'Union Franco-américaine, la même année, marque le début de la réalisation de la Statue de la Liberté éclairant le Monde. La main et le flambeau, présentés à l'Exposition Universelle de Philadelphie de 1876, seront exposés Madison Square à New York pendant cinq ans. Le sculpteur épouse Jeanne-Emilie Baheux de Puysieux à Newport la même année.

La tête de la statue est présentée à l'Exposition Universelle de 1878 qui se tient à Paris. Bartholdi termine le Lion de Belfort en 1880, puis se consacre exclusivement à la Statue de la Liberté. Gustave Eiffel participe au projet et construit la charpente métallique. Une réplique de quelques mètres sera installée à la pointe de l'île des Cygnes à Paris, face au pont de Grenelle.

La Statue de la Liberté, achevée en 1884, représente une femme drapée dans une toge et brandissant une torche de la main droite. Sur les tablettes qu'elle tient de la main gauche, on peut lire en chiffres romains "4 juillet 1776", jour de l'Indépendance américaine. A ses pieds, se trouvent les chaînes brisées de l'esclavage.

La statue originale sera remise aux Etats-Unis officiellement 4 juillet 1884 à Paris, puis désassemblée en 350 pièces détachées pour être chargée à bord de la frégate "Isère". Inaugurée par le Président Groover Cleveland le 28 octobre 1886, elle sera déclarée monument historique le 15 octobre 1924. Le coût total de la construction du monument s'élevera à 800000 dollars.

Frédéric Auguste Bartholdi décédera le 5 octobre 1904 à Paris. L'Alsace et la Lorraine redeviendront françaises en 1918.


Zone est







Artistes :
Zacharie Astruc  (1835-1907), Jules Blanchard  (1832-1916), Henri Théophile Bouillon  (1864-1934), Charles-Arthur Bourgeois  (1838-1886), Jean-Baptiste Clésinger  (1814-1883), Eugène-Louis Lequesne  (1815-1887), Etienne Hippolyte Maindron  (1801-1884),
Denys Pierre Puech (1854-1942), Auguste Rodin  (1840-1917), Jules Roulleau  (1855-1895), François-Léon Sicard  (1862-1934).




Artiste : Denys Pierre Puech
Modèles : La Renommée, La Gloire, Charles Marie Leconte (Leconte de Lisle)

Biographie :
Chef de file de l'école parnassienne, Leconte de Lisle traduira de nombreux écrivains grecs parmi lesquels Théocrite (1861), Homère: l'Iliade (1866) et l'Odyssée (1867), Sophocle (1877), Euripide (1885). Il sera également l'auteur de plusieurs recueils de poèmes qui brasseront l'histoire des religions et des civilisations depuis l'Antiquité jusqu'au Moyen Âge (Poèmes antiques (1852), Poèmes barbares (1862), Poèmes tragiques (1884)).

Une souscription publique sera ouverte après son décès afin de lui élever un monument. L'exécution en sera confiée au sculpteur, grand prix de Rome, Denys Puech.

Inauguré en juillet 1898 dans le jardin du Luxembourg que Leconte de Lisle traversait quotidiennement, ce monument représente une allégorie de la Gloire, les ailes déployées, qui enlace le buste du poète en marche vers "le Parnasse". Le poète José-Maria de Heredia, ami de Leconte de Lisle, représentera l'Académie française à l'inauguration.

Après avoir vu cette statue, Anatole France confiera à Rodin : "Leconte de Lisle, caressé par une grande femme ailée en saindoux, me semble surtout à plaindre. Et quand je l'aperçois, je me sauve en songeant que peut-être, un jour, sous les ombrages, Monsieur Puech représentera une affaire Dreyfus en suif, baisant à pleine bouche mon buste en margarine !".



Artiste : François-Léon Sicard
Modèle :  Aurore Armandine Lucile Dupin (Georges Sand)

Biographie :
Fille d'un officier de l'Empire décédé en 1808, descendant du maréchal Maurice de Saxe, George Sand sera élevée par sa grand-mère au château de Nohant avant d'intégrer un couvent parisien qu'elle quittera en 1820.

Elle épousera le baron Dudevant en 1822, à qui elle donnera deux enfants et qu'elle quittera en 1831. Installée à Paris, elle y publiera son premier roman, Rose et Blanche, en collaboration avec Jules Sandeau qui lui donnera son pseudonyme. L'oeuvre de Georges Sand développera quatre thèmes : le romantisme sentimental (1832-1837), le socialisme humanitaire (1838-1845), la vocation rustique (1846-1853), le retour au romanesque (1854-1868).

Maîtresse d'Alfred de Musset qu'elle quittera à Venise, puis de Liszt et de Chopin, elle participera à la création de la Revue indépendante (1841) puis la Revue sociale (1845). Cette période sera marquée par la publication de romans d'inspiration sociale: le Compagnon du Tour de France (1840), Consuelo (1842), le Meunier d'Angibault (1845). Il seront suivis de la Mare au Diable (1846), François le Champi (1848), la Petite Fadette (1849), les Maîtres sonneurs (1853).

George Sand participera également à l'écriture de plusieurs pièces de théâtre et publiera des recueils à caractère autobiographique : la Secrétaire intime (1834), Lettres d'un voyageur (1834-1836), Histoire de ma vie (1855), Elle et lui (1859).

Zone nord







Artistes :
Antoine Bourdelle  (1861-1929), Emile-François Chatrousse  (1829-1896), Aimé Jules Dalou  (1838-1902), Forestier, Franceschi, Aimé Millet  (1819-1891), Pierre Roche (Fernand Massignon)  (1855-1922).


Artiste : Emile-François Chatrousse
Modèle :  Le Ruisseau, La Source

Description :
Le sculpteur de cette oeuvre sera placé en apprentissage chez un bijoutier à l'âge de 11 ans, puis formé par Abel de Pujol. Il exposera son groupe en plâtre représentant la reine Hortense et son fils Louis Napoléon au Salon de 1853, qui sera commandé par Napoléon III et présenté à l'Exposition universelle de 1855. L'artiste bénéficiera de nombreuses commandes publiques au cours des dernières années du Second-Empire, destinées au Louvre, aux Tuileries, à l'Hôtel de Ville et plusieurs églises (Résignation- 1855/185 - Saint-Eustache). Le sculpteur mettra son talent au service de monuments à la gloire du patriotisme après la guerre de 1870, et participera au coté de Dalou à l'émergence d'une certaine modernité qui se manifestera dans la Jeune Parisienne exposée au Salon de 1877 (plâtre de 1786 conservé par le Petit-Palais) et Jeune Femme d'aujourd'hui de 1883 (Condom - Musée Armagnac).





Artiste : Forestier
Modèle :  La messagère

Sources : www.insecula.com

 
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